Le dragon est une créature légendaire représentée comme une sorte de gigantesque reptile, ailes déployées et pattes armées de griffes . Dans de nombreuses mythologies à travers le monde, on retrouve des créatures reptiliennes possédant des caractéristiques plus ou moins similaires, désignées comme dragons
De par son apparence reptilienne, le dragon est intimement lié à la terre. Cependant il se détache du monde terrestre par sa capacité à voler, ce qui le distingue des rampants, à l'image des serpents (le plus souvent malfaisants) que l'on retrouve de par le monde (nâga, aspic…). Ces derniers s'opposent, au contraire, aux créatures aériennes, physiquement ou symboliquement : en Égypte, Horus dieu faucon fils de Rê l'adversaire d'Apophis le serpent, en Asie, Garuda aigle géant combattant les serpents nâga…
Ses représentations varient cependant énormément en fonction des civilisations. Symbole de vie et de puissance en Chine, protecteur en Indonésie, protecteur de trésors en Grèce antique ou encore maléfique et ravisseur de princesses en Europe médiévale.
Une distinction principale est à faire entre les dragons occidentaux et les dragons orientaux, comme les ryuu (竜) japonais ou lóng (龍) chinois.
Il est difficile de déterminer une origine géographique ou historique aux dragons. Leur apparition semble dater des premières civilisations, peut-être même du Paléolithique supérieur. En appliquant des outils statistiques à divers types de dragons à travers le monde4, puis à divers récits racontant le combat contre le monstre5, Julien d'Huy a en effet pu montrer l'existence d'un signal phylogénétique très similaire pour les dragons et pour les récits de combat, ces deux ensembles s'organisant en une progression géographique qui laisse supposer une origine africaine du motif. Parti d'Afrique, le motif aurait ensuite atteint l'Asie du Sud-Est, avant de se diffuser en Australie puis en Amérique et, dans une dernière vague, vers l'Europe paléolithique. Le proto-dragon, tel qu'il a pu être statistiquement reconstruit, était en partie serpent; il gardait les sources et autres points d'eau, pouvait voler et apparaissait lorsque la pluie et le soleil s'interpénètrent. Il possédait des écailles et des cornes, ainsi qu'une pilosité humaine. Il s'opposait à la foudre et au tonnerre. Enfin, il pouvait provoquer des inondations et des tornades. Il est intéressant de noter que cet ensemble de traits se retrouve encore dans les mythologies - et dans les arts rupestres, pour certains très vieux - du monde entier6, ce qui laisse supposer que cette reconstruction serait au moins partiellement vraie.
Les plus anciennes traces connues de représentations du dragon remontent quant à elles à la Mongolie au Néolithique7, et au IVe millénaire av. J.-C., dans une tombe néolithique de Xishuipo, site archéologique de la province du Henan, en Chine : formée de coquillages, sa forme se détache nettement aux côtés du défunt. La découverte de cette tombe date des années 1980 8. Une autre représentation, vieille de 2500 ans, constituée de briques de couleur, fut découverte sur les murs de la porte d'Ishtar, une des monumentales portes de Babylone.
Il s'agit là d'une figure religieuse imaginaire, tout comme le sont le sphinx, les sirènes ou toute autre créature fabuleuse. Celles-ci s'appuient davantage sur des espèces animales existantes, que l'homme hybride à sa fantaisie, que sur la découverte d'un squelette gigantesque (il est d'ailleurs décrit comme « un animal fantastique [...] avec des griffes de lions, des ailes et une queue de serpent » dans le Larousse9). On trouve ainsi des monstres aux formes semblables, mais néanmoins différents, dans presque toutes les cultures antiques, et ces mythes se sont par la suite « contaminés » les uns les autres, pour s'approcher de la figure actuelle, désormais universelle.
Une filiation avec les grands reptiles disparus au Crétacé est controversée3. Bien entendu il faut exclure le fait que les premiers hommes aient côtoyé les dinosaures (comme cela est parfois représenté dans les films), plusieurs dizaines de millions d'années les séparant.
L'hypothèse selon laquelle les fondateurs des premières civilisations auraient trouvé des ossements de dinosaures est également débattue. Il est en effet assez rare de trouver ces fossiles à l'air libre, dégagés par l'érosion. Cela n'expliquerait donc pas l'universalité du mythe. Néanmoins, des cas sont attestés : ainsi, des ossements découverts à Wucheng sont attribués à un dragon par l'historien Chang Qu, vers 300 av. J.-C.10,11.
Reptiles
De grand reptiles, en particulier les crocodiles, pourraient avoir contribué significativement à l'universalité du mythe. En effet, il arrivait que le crocodile du Nil, dont l'aire de répartition était beaucoup plus importante à l'époque antique, atteigne la rive nord de la Méditerranée11.
Le Varan de Komodo et des cousins comme le Megalania prisca (éteint mais qui a probablement côtoyé l'homme), peuvent également avoir inspiré des légendes de dragons.
Protées
Dans La Gloire du Duché de Carniole (Die Ehre dess Hertzogthums Crain), Janez Vajkard Valvasor décrit les mythes et légendes slovènes faisant du Protée anguillard un bébé dragon. En effet, lors des crues, cet animal cavernicole est expulsé des grottes où il vit. Les populations locales en concluaient que de grands dragons vivent sous la croute terrestre et que ce petit animal en est la larve12.
Dragons occidentaux
Article détaillé : Dragon européen.
Saint Georges combattant le dragon de Raphael.
Dans la tradition occidentale (mythologie grecque, celtique et nordique), il s'agit d'une créature reptilienne ailée et soufflant le feu, que nombre de héros ou dieux devront combattre afin d'établir l'ordre sur le monde. Ce sont avant tout des créatures liées à la terre et au feu, symbole de la puissance des forces naturelles. Ils rejoignent par ces caractéristiques les anciennes créatures chthoniennes à l'allure de serpent des mythologies indo-européennes : Apollon combattait Python13, Krishna rivalisait avec Kaliya14, Rê luttait contre Apophis...
Ils garderont par la suite cet aspect sauvage à des fins plus matérielles la plupart du temps associées à la surveillance de quelque chose. Cette caractéristique est inscrite dans le nom même du dragon : l'origine du mot grec drákōn (δράκων) dérive de drakeîn (δρακεῖν), aoriste du verbe dérkomai (δέρκομαι) signifiant « voir, regarder d'un regard perçant ».
Le christianisme fait du dragon le symbole du mal, de la Bête de l'Apocalypse, l'incarnation de Satan et du paganisme. L'Apocalypse de Jean décrit le combat du Dragon contre le Messie. La légende dorée, les histoires des saints sauroctones évoquent de nombreux saints, martyrs et archanges triomphant du dragon qui est l'incarnation du mal.
Dragons asiatiques
Contrairement à leurs homologues européens, les dragons asiatiques, bien qu'associés aux forces de la nature, sont dangereux mais pas vraiment hostiles. Ils ne montrent pas le caractère souvent violent des dragons occidentaux. Ils diffèrent aussi de par leur apparence : ils sont plus fins et aériens et ne possèdent pas spécialement d'ailes. On retrouve une représentation fort semblable du dragon notamment en Chine, au Japon, en Corée et au Viêt Nam. Ses caractéristiques physiques et symboliques ne varient que de façon minime entre ces civilisations : esprits associés au climat, ils sont puissants et vénérés. On les associe régulièrement au pouvoir en place.
Amérique
La mythologie amérindienne ne semble pas faire part de légendes concernant les dragons au sens où nous les concevons. Dans la croyance des Aztèques le serpent bénéficiait d'un statut important de par, entre autres, sa capacité à muer. On retrouve la racine coatl (serpent en nahuatl) dans le nom de plusieurs divinités : Cihuacóatl (femme serpent) ou Coatlicue (la dame aux serpents) mais également Quetzalcóatl (serpent à plumes, aussi présent dans la mythologie maya par exemple, sous le nom de Kukulkan) ou Mixcoatl (serpent de nuages) dans lesquels se remarque un caractère beaucoup plus aérien par les qualificatifs employés.
Pour les Celtes comme pour les Romains, le dragon était un symbole guerrier. L'emblème de l'empire d'Orient était un dragon pourpre.
Chez les Celtes, Uther Pendragon, le père du roi Arthur, avait adopté pour emblème le dragon. Uther avait vu en songe un dragon traverser le ciel en jetant des flammes. Ses devins avaient vu là un présage selon lequel il devait hériter du royaume de son frère.
Le présage se réalisa et Uther fit confectionner deux étendards représentant des dragons, dont l'un l'accompagnait dans toutes ses batailles.
Puissance céleste, créatrice, ordonnatrice, le dragon est tout naturellement le symbole de l'empereur, incarnant la force issue de la terre. Le dragon rouge est l'emblème du Pays de Galles. Le Mabinogi de Lludd et de Llewellys raconte la lutte du dragon rouge et du dragon blanc, ce dernier symbolisant les Saxons envahisseurs. Finalement les deux dragons, ivres d'hydromel, sont enterrés au centre de l'Île de Bretagne, à Oxford, dans un coffre de pierre. L'île ne devrait subir aucune invasion tant qu'ils n'auraient pas été découverts. Le dragon enfermé est le symbole des forces cachées et contenues : les deux faces d'un être voilé. Le dragon blanc porte les couleurs livides de la mort, le dragon rouge celles de la colère et de la violence. Les deux dragons enterrés ensemble signifient la fusion de leur destin. La colère est tombée, mais les dragons pourraient ressurgir ensemble. Ils demeurent comme une menace, une puissance virtuelle, prompte à se lancer contre tout nouvel envahisseur. D'après les légendes, les héros doivent obligatoirement le terrasser pour accéder au pouvoir spirituel et temporal et ainsi gagner le coeur des élues.
Il existe en Chine, une quantité de dragons différents qui peuvent revêtir plusieurs formes. D'apparence animale, humaine ou les deux à la fois, les dragons se transforment en nuage ou en source, vivent dans les cieux ou dans les mers.
Le dragon peut posséder des cornes ou des bois de cerf. Il est également souvent représenté avec des ailes recouvertes d'écailles ou de poils. Ce dragon là, celui que nous connaissons le mieux, est affublé de griffes puissantes et l'air qu'il souffle peut devenir nuage, pluie ou feu.
Chaque dragon à la morphologie différente porte un nom :
Tch'eu-lung pour les dragons sans corne
Kiao-Lung pour les dragons à écailles
K'ieou-lung pour les dragons à cornes
Ying-long pour les dragons ailés
Dans la religion populaire, le dragon est devenu le maître de la pluie. De grandes cérémonies lui sont consacrées.
On peut également s'attirer ses faveurs en lui présentant une jeune femme que l'on substitue au dernier moment. Ce marché de dupe attise sa colère et il provoque alors le tonnerre et la pluie.
L'année du dragon est une année bénéfique, signe de paix, de richesse et de bonnes récoltes.
Le dragon est l'animal du levant. Il est bleu ou vert. C'est le yang qui prédomine, une énergie masculine puissante.
Comme le souverain, il est un pivot entre le ciel et la terre. Il participe au maintien de l'harmonie.
Le dragon est un symbole de pouvoir. L'empereur ou les grands dignitaires portaient une robe de cérémonie, appelée le mangpao.
Ce vêtement était orné d'un dragon à cinq griffes enroulé autour d'une perle. Le tissu était revêtu d'un motif de lotus et de nœuds qui sont les emblèmes bouddhiques du bonheur.
Sa semence, déposée et congelée dans les entrailles de la Terre, devient le jade, pierre précieuse pour les Chinois.
Les Chinois attribuent au jade toutes les vertus dont celle de conserver les corps. D'ailleurs, à l'époque des Zhou, on voit apparaître les premiers jades cousus sur les linceuls.
A l'époque des Han, le défunt de sang royal est entièrement revêtu de plaques de jade cousues ensemble par des fils d'or.
Le dragon n'a-t-il pas la réputation d'être immortel ?
Certaines légendes racontent que les dragons s'accouplent en mêlant leur souffle. Les œufs, nacrés et multicolores, sont déposés près des rivières.
Le dragon symbolise les quatre éléments fondamentaux : air, terre, eau et feu.
Le Dragon de l'eau
Symbolise la Passion, la Profondeur. Il apporte à la surface tout ce qui se cache en dessous. Certains souvenirs et désirs, oubliés ou réprimés depuis très longtemps dans l'inconscient, peuvent sembler porteurs d'une force négative et destructive. Si l'on accepte d'en tenir compte, ils serviront à avancer sur le chemin spirituel et à garder l'équilibre.
Le Dragon de la Terre
Apporte le Pouvoir, la Richesse. Il nous confronte à nos propres potentiels. Il nous apprend à utiliser nos talents et ressources, et nous montre les secrets de notre coeur. Nous décèlerons alors plus facilement la force et la beauté qui se cachent dans le coeur des autres.
Le Dragon de l'Air
Développe l'Inspiration, la Vitalité. La rencontre entre la psyché, l'intellect et de Dragon de l'Air peut frapper comme la foudre. On doit la préparer avec soin et l'attendre avec respect. Il donne à notre esprit la perspicacité et la clarté, se manifestant parfois dans nos pensées et notre imagination comme une soudaine illumination.
Le Dragon du Feu
Signifie la Transformation, la Maîtrise. Il apporte la vitalité, l'enthousiasme, le courage et l'énergie qui permettent d'affronter et de surmonter les obstacles et les problèmes de la vie quotidienne. Sa puissance aide à maîtriser le commandement et la connaissance. Il alimente avec soin le feu intérieur, aide à le canaliser et à l'utiliser avec précision pour accomplir les tâches et les objectifs fixés
Animal ailé, il est apparenté aux airs. Mais, ses écailles et sa longue queue en font un reptile terrestre.
Il crache du feu et est aussi associé à l'eau.
Le dragon dans la mythologie chinoise
Le dragon est omniprésent dans la mythologie chinoise. Nugua (ou Nuwa), déesse à l'origine du monde selon la cosmogonie chinoise, est un être mi-humain, mi-dragon.
Le dragon est presque toujours bénéfique et aide dieux et hommes à vaincre les forces du mal ou les catastrophes naturelles.
Le dragon apparaît par exemple dans l'une des versions du mythe du déluge.
Exceptionnellement, il est fait référence à un dragon maléfique dans le premier mythe du déluge. En effet, le dieu-ouvrier Gong-Gong prend la forme d'un dragon noir quand il remue les eaux du monde, à tel point qu'elles se précipitent contre la barrière du ciel, faisant craindre le retour du chaos.
Par contre, la version majeure du déluge narre comment le héros Yu maîtrise les eaux grâce à ses prouesses physiques surhumaines. Mais, il ne peut réussir l'exploit d'arrêter le déluge sans l'aide de dragons aquatiques et d'une tortue.
Une légende raconte qu'un dragon, sorti du fleuve jaune, apporta à Yu le Grand les plans du monde.
Le prince Yu est le fondateur mythique de la première dynastie des Xia. Il est un héros civilisateur à qui l'on attribue le fait d'avoir dompté les inondations du fleuve jaune. Il est souvent représenté dans la couleur qui sera plus tard réservée exclusivement aux empereurs de Chine : le jaune.
Les plans du monde se traduisent en chiffre allant de un à neuf.
Sur le modèle d'un carré divisé en neuf parties égales, Yu a créé neuf provinces.
Dragon : Yin et Yang
Les empereurs de Chine s'asseyaient sur un trône sculpté de dragons. Ces animaux étaient associés aux pratiques de géomancie, ou feng-shui.
Les géomanciens recherchaient les meilleurs sites pour l'emplacement des villes, des palais ou des tombeaux.
Les ouvrages devaient bénéficier de la puissance des grands courants telluriques. Ces courants magnétiques pouvaient être de nature négative (yin) ou positive (yang.)
Le courant positif était symbolisé par un dragon mâle. Ce courant suivant les lignes escarpées des hauteurs où résidait le dragon.
Les routes qui cheminaient de mont en mont étaient appelées lung-mei (routes du dragon.)Ces routes étaient d'ailleurs soigneusement protégées et il était interdit de construire à proximité.
Bien sûr, il fallait respecter l'équilibre entre le yin et le yang lors de la construction des édifices.
Le dragon dans les autres civilisations
Dans la littérature celtique, le mot dragon désigne aussi un chef. Un pendragon est un chef suprême.
Dans le seul folklore britannique, on compte plus d'une cinquantaine de dragons différents. Dans le monde entier, on en recense des milliers.
Il y a beaucoup de dragons dans les légendes et les mythes. Mais d'où viennent donc ces animaux aux pouvoirs surnaturels ?
D'où viennent les dragons ?
En l'absence de toute preuve fossile, il est difficile d'accorder beaucoup d'importance aux légendes qui décrivent les dragons.
On peut cependant s'interroger sur l'origine de ces légendes. Sur quelles bases s'appuient-elles ?
La première chose qui nous vient à l'esprit est la concordance évidente entre ces dragons et certains animaux préhistoriques qui ont disparu.
Les reptiles volants sont particulièrement proches de la description des dragons. Certains reptiles marins ont également des caractéristiques communes avec les fameux dragons aquatiques.
Cependant, rien n'indique à ce jour à part quelques témoignages non étayés de preuves, que des animaux préhistoriques ont survécu après la fin du Crétacé.
D'autres animaux à l'apparence étrange tels les varans ont également pu, à une époque lointaine, terroriser nos ancêtres.
Il est tout de même assez étrange que ces légendes parlant de dragons soient si persistantes et surtout si universelles.
Mais, nos aïeux avaient la fâcheuse habitude de voir des dragons partout. Pour les anciens cartographes, le dragon est presque un animal familier. Ils en parsemaient les cartes des régions inexplorées.
Pour eux, ils représentaient l'inconnu et les plaçaient au milieu des girafes et des éléphants. On peut constater la présence de dragons sur de nombreuses cartes anciennes mêlées à des animaux bien réels.
Quand Marco Polo est revenu de Chine, l'alligator s'est transformé, sous le crayon des dessinateurs, en dragon ailé avec une queue terminée en tête de serpent.
Certains grands serpents comme le python ont également été qualifiés de dragons jusqu'au 19e siècle.
Bien qu'il y ait eu de nombreuses confusions dues à l'ignorance, il est peu probable que les crocodiles, varans ou serpents soient à l'origine des légendes.
Peut-être que les dragons n'ont en fait aucune réalité animale et qu'ils ne sont que des symboles.
C'est après tout le sens que leur donnent les Chinois.
Le Dragon de l'eau
Symbolise la Passion, la Profondeur. Il apporte à la surface tout ce qui se cache en dessous. Certains souvenirs et désirs, oubliés ou réprimés depuis très longtemps dans l'inconscient, peuvent sembler porteurs d'une force négative et destructive. Si l'on accepte d'en tenir compte, ils serviront à avancer sur le chemin spirituel et à garder l'équilibre.
Le Dragon de la Terre
Apporte le Pouvoir, la Richesse. Il nous confronte à nos propres potentiels. Il nous apprend à utiliser nos talents et ressources, et nous montre les secrets de notre coeur. Nous décèlerons alors plus facilement la force et la beauté qui se cachent dans le coeur des autres.
Le Dragon de l'Air
Développe l'Inspiration, la Vitalité. La rencontre entre la psyché, l'intellect et de Dragon de l'Air peut frapper comme la foudre. On doit la préparer avec soin et l'attendre avec respect. Il donne à notre esprit la perspicacité et la clarté, se manifestant parfois dans nos pensées et notre imagination comme une soudaine illumination.
Le Dragon du Feu
Signifie la Transformation, la Maîtrise. Il apporte la vitalité, l'enthousiasme, le courage et l'énergie qui permettent d'affronter et de surmonter les obstacles et les problèmes de la vie quotidienne. Sa puissance aide à maîtriser le commandement et la connaissance. Il alimente avec soin le feu intérieur, aide à le canaliser et à l'utiliser avec précision pour accomplir les tâches et les objectifs fixés
Références
wikipedia, dinosoria.com,
La Chine des Han. Collection l’histoire du Monde N°20 ; éditions Larousse
Le royaume du Dragon, Collection l’histoire du Monde N°8 ; éditions Larousse
Les origines légendaires de la Chine, Collection l’histoire du Monde N°5 ; éditions Larousse
Encyclopédie de la mythologie, éditions Parragon 2004
Inexpliqué, pp. 488 à 493. 506 à 509. 574 à 577. Editions Atlas 1981